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Jeep Liberty V6 2005 - Essai hors route

9-29-2005

by Trevor Hofmann , Canadian Auto Press

Et avant que vous alliez vous associer à mes nouveaux amis des CJ, YJ et TJ, et dire que leurs moqueries de la veille sur le Liberty était justifiée, ce petit VUS s'est bien tiré de tout ce qu'il a rencontré durant un avant-midi
Incidemment, les pistes de 4x4 sont cotées de 1 à 10, celle cotée 1 étant la plus facile et la cote 10 étant attribuée à une piste presque impraticable. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press)
d'aventures, prouvant qu'il est aussi capable, jusque dans les pistes, disons de niveau intermédiaire, que les VUS environnants à essieux rigides, si ce n'est que des éraflures sur ses plaques de protection.

Incidemment, les pistes de 4x4 sont cotées de 1 à 10, celle cotée 1 étant la plus facile et la cote 10 étant attribuée à une piste presque impraticable. La plupart des pistes du Jamboree sont cotées en dessous de 5, signifiant que les Jeep "Trail Rated" de série ne devraient avoir aucun problème à les traverser, en autant que le conducteur conduise de façon prudente. N'importe quelle piste au dessus du niveau 5, et il y en avait certaines que les experts ont pris leur journée à escalader, requièrent des Jeep modifiés, équipés des ensembles de soulèvement de carrosserie et des pneus de dimensions plus grandes mentionnés plus tôt, et des conducteurs plus expérimentés (et souvent un peu fous).

La journée s'est poursuivi avec un trajet autour du sommet d'une paroi, à gauche, très escarpée, le sentier agité se déroulant dans la pierre
À peu près au milieu de la journée, le sentier est devenu un peu ennuyeux, le Wagoneer classique directement devant moi attirant plus mon intérêt que les paysages environnants. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press)
volcanique, les grandes herbes séchées, les grands pins complètement morts de soif et, vous l'avez deviné, de la fine et argileuse poussière. À peu près au milieu de la journée, le sentier est devenu un peu ennuyeux, le Wagoneer classique directement devant moi attirant plus mon intérêt que les paysages environnants.

Une agréable boîte à lunch sur le bord de l'une des prairies en herbes des plus accentuées au près de laquelle je me souvienne avoir dîné a brisé la monotonie, accompagné de Kaden qui me demandait, à toutes les dix minutes ou environ, quand nous allions arriver, et quand nous allions être de
Après avoir gravi l'une des pentes les plus escarpées que je n'aie jamais grimpé à bord d'un véhicule sans chenilles, nous étions tout près du sommet de la montagne que nous avons mis presque toute la journée à traverser. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press)
l'autre côté de la montagne. C'est épatant de constater à quel point une montagne peut sembler énorme quand ont atteint des vitesses de pointe d'à peine 5 milles à l'heure, mais lentement et sûrement, nous faisions du progrès, avec à l'occasion, un rocher ou un arbre situé dangereusement près du sentier...du moins assez dangereusement pour la peinture luisante de chaque véhicule.

Après avoir gravi l'une des pentes les plus escarpées que je n'aie jamais grimpé à bord d'un véhicule sans chenilles, rendue plus compliquée encore par des pierres libres de la taille "de la tête d'un bébé", un vieux terme que mon père a toujours utilisé pour décrire les gros cailloux sur une route de gravier, avant que les mots "politiquement correct" ne l'ait transformée en la phrase la plus agaçante du 20e siècle, nous étions tout près du sommet de la montagne que nous avons mis presque toute la journée à traverser. Sachant maintenant que le pire était derrière moi, je me suis retrouvé avec un certain sentiment de mélancolie, en partie gratifié de retourner vers une confortable chambre avec douche, savon et shampooing, ainsi qu'un point final aux demandes répétées de Kaden pour une estimation de l'heure d'arrivée, mais aussi avec une part de désolation parce que ma journée de 4x4 serait bientôt terminée et que je devrai grimper à bord d'une autre machine, celle plutôt routière que j'ai à long terme, construite par Mitsubishi, pour le long retour à la maison du lendemain.
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