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Subaru Impreza WRX STI 2008 : essai routier

10-10-2008

by Charles Renny , Auto123.com

De là, d'autres systèmes spécialisés tels que le différentiel central commandé par le conducteur (DCCD) entrent dans le jeu. Le système de traction intégral DCCD propose quatre modes qui répartissent le couple à l'avant et à l'arrière en différentes proportions. Ils partagent le couple au besoin selon des préférences établies. Vous pouvez mettre le système DCCD en mode manuel afin d'y apporter vos corrections et optimiser le rendement selon la situation. Un différentiel hélicoïdal avant à glissement limité et son pendant arrière Torsen sensible au couple favorisent le partage du couple d'un côté à l'autre.

En ce qui concerne l'électronique, le système de contrôle de la dynamique (VDC) est également réglable. Il est en mode « normal » par défaut. Un cran plus haut se trouve le mode « traction », davantage axé sur la performance et moins restrictif. En haut de l'échelle de rendement se trouve le mode « OFF », où l'on doit se débrouiller seul.

Subaru dote toujours son Impreza d'énormes freins. On trouve à l'avant de grands disques Brembo et des étriers à quatre pistons; à l'arrière, des étriers à deux pistons chevauchent des disques légèrement plus petits. Outre les composantes mécaniques, Subaru a retouché l'électronique aussi. Le système d'assistance au freinage analyse la course et la force exercée sur la pédale et peut augmenter la pression en cas d'urgence et même activer le système ABS plus tôt.

Une fois bien assis, toutes les commandes tombent volontiers sous la main.

Si intéressants soient-ils, ces dispositifs ne jetteront pas un poids dans la balance si la voiture n'est pas confortable. Heureusement, la STI brille à ce chapitre. J'ai réussi à m'installer confortablement en 15 secondes, mais lorsque ma femme a pris le volant, elle a mis une bonne minute à trouver la position idéale. Une fois bien assis, toutes les commandes tombent volontiers sous la main, y compris le levier de la boîte manuelle à six rapports.

J'ai vraiment apprécié les baquets. Ils font appel à des coussins standard qui soutiennent assez bien les cuisses, mais c'est le dossier qui fait toute la différence. Il demeure relativement large et ne pince jamais les côtés. Autour des épaules, le siège s'évase et offre un excellent support à un vaste éventail de types corporels.

L'espace arrière est toutefois un brin ajusté. Lorsque j'ai reculé mon siège avant, l'espace pour les jambes et les genoux n'avait pas l'air d'abonder. Je n'ai même pas tenté de m'asseoir à l'arrière, mais je n'ai aucun doute que deux personnes pourraient y prendre place pour durée limitée. Il accueillerait facilement des sièges pour enfant, et on pourrait même y installer les p'tits sans se disloquer l'épaule. Lorsque non sollicitée, la banquette arrière asymétrique se rabat, révélant un vaste espace de chargement.

J'ai subi une crise de paresse aigüe un jour et souhaité que la boîte manuelle de 6 rapports se transforme en version automatique. Il va sans dire que je suis allé avaler les courbes jusqu'à ce que ça se passe.


Photos : Charles Renny, Subaru
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