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Subaru Outback 2005

1-1-2005

by Antoine Joubert , Auto123

Aménagement intérieur

Photo - Antoine Joubert - Auto123.com
Comme par le passé, l'habitacle de l'Outback offre au conducteur comme aux passagers, un excellent confort général. Cependant, le modèle 2005 innove en adoptant une allure moderne et dynamique, qui ne peut heureusement déplaire à personne. Au premier coup d'oeil, on remarque la console centrale de couleur titane, le superbe volant Momo à trois branches ainsi que l'éclairage blanc et rouge de l'instrumentation, qui est du plus bel effet. Une fois à bord, le conducteur appréciera sans équivoque l'ergonomie des diverses commandes et le design non seulement esthétique, mais aussi fonctionnel de la planche de bord. Les commandes du système de ventilation et de la chaîne sonore sont simples et efficaces, tout comme celles servant à l'utilisation de l'ordinateur de bord. En fait, les deux seuls points négatifs que j'ai pu trouver se traduisent en un volant qui n'est pas télescopique et en un cendrier qui pour un fumeur, est carrément inutilisable.

Photo - Antoine Joubert - Auto123.com
À l'avant, l'espace disponible est plus qu'appréciable et permet aux occupants de s'y sentir plus qu'à l'aise. Les sièges, dont les éléments chauffants sont très efficaces, sont soigneusement sculptés pour offrir un confort exceptionnel et un excellent maintien de tous les côtés. Les passagers arrière devront en contrepartie composer avec un léger manque de dégagement au niveau de la tête, qui est d'une part dû à la présence du toit ouvrant, et d'autre part causé par la position élevée de la banquette. Heureusement, celle-ci s'avère en revanche des plus confortables, et est appréciable pour de longs trajets. Là où l'espace étonne, c'est bien sûr au niveau du compartiment à bagages, pouvant accueillir plus de 900 litres avant même d'abaisser la banquette. Cela signifie plus d'espace que dans tous les V.U.S. compacts, à l'exception du Chevrolet Equinox. De plus, le plateau de rangement placé sous le plancher du coffre ainsi que le tapis à rebord en caoutchouc, sont deux caractéristiques fort intéressantes.

Au niveau de l'équipement, l'Outback est évidemment cossue, et comporte plusieurs caractéristiques de voitures de luxe. Mis à part la version 2.5i, tous les modèles reçoivent une climatisation automatique à deux zones, un immense toit ouvrant vitré, un système antivol, un ordinateur multifonction et une chaîne audio avec changeur de six CD. La sellerie de cuir est également de série dans la majorité des versions. Cependant, la présence de glaces électriques avant à remontée automatique serait appréciable, surtout lorsqu'on sait que plusieurs voitures vendues beaucoup moins chères, l'offrent.

Groupe motopropulseur

Photo - Antoine Joubert - Auto123.com
Plus complète que jamais, la gamme Outback offre maintenant un choix de trois moteurs et de trois transmissions. Le plus attirant s'avère sans contredit le nouveau quatre cylindres de 2,5 litres turbocompressé, qui livre une puissance et un couple parfaitement égaux, soit 250 chevaux et 250 lb/pi de couple. Extrêmement puissant, ce moteur est non seulement vivant, mais brille par un temps de réponse favorable du turbocompresseur. D'une grande souplesse, il offre des accélérations et des reprises comparables à celles d'une Impreza WRX, ce qui n'est pas peu dire. Avec la boîte manuelle, la voiture passe de 0 à 100 km/h en 6,7 secondes, tandis que les reprises de 80 à 120 km/h nécessitent que 6 petites secondes. En dépit d'un levier impeccablement précis et d'un bon étagement, la boîte manuelle ne comporte que cinq rapports, ce qui n'est pas particulièrement impressionnant lorsqu'on sait que toutes les concurrentes en offrent six. Secundo, une automatique à 5 rapports avec mode manuel est offerte en option. Aussi appréciable que la boîte manuelle, elle propose des changements de rapports à la fois souples et rapides, qui ne se font cependant pas parfois sans une petite secousse. Évidemment, la consommation d'essence va de pair avec la puissance, c'est-à-dire élevée. En conduite sportive et durant la période hivernale, l'Outback 2.5XT à boîte automatique mise à l'essai a englouti plus de 17 litres au 100 kilomètres, ce qui est comparable à la cote d'un Jeep Grand Cherokee à moteur V8. En condition régulière, elle s'accompagne cependant d'une consommation moyenne d'environ 14 litres au 100 kilomètres.
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