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F1: Bernie Ecclestone admire l'autorité d'Adolf Hitler et de Sadamm Hussein

7-4-2009

by Auto123.com

D'après GMM

La F1 ne cessera jamais de nous impressionner par ses manières, toujours plus originales les unes que les autres, d'accumuler controverse après controverse.

Donc, après le fameux scandale sexuel de Max Mosley il y a un an, voici le scandale-entrevue-raté-au-Times-britannique de Bernie Ecclestone.

Au cours de cette entrevue, Ecclestone s'est exprimé sur divers sujets, ne manquant pas sa chance d'ouvrir la porte à une controverse à chacun de ses propos, sans exception.

« Ça pourrait paraître terrible de dire ça, mais Adolf Hitler avait le pouvoir de contrôler sa population et de la pousser à accomplir certaines choses, » a commencé l'homme de 78 ans.

Ecclestone a continué la discussion en critiquant le gouvernement britannique qui avait supporté l'invasion en Iraq afin de détrôner le dictateur notable Saddam Hussein. « Il était le seul à pouvoir contrôler ce pays. C'est la même chose pour les talibans en Afghanistan d'ailleurs. »

Ecclestone a également défendu les choix sexuels de Max Mosley, précisant que « tout le monde a droit de faire ce qu'il désire », ajoutant  même : « J'aime les gens qui ont une opinion claire. Lorsque vous devez toujours demander l'avis de votre grand-mère avant d'agir, c'est idiot. Je prends des décisions, parfois j'ai raison et parfois j'ai tort, mais aussi longtemps que mes bonnes décisions surclasseront les mauvaises, ça ira. »

Finalement, cerise sur le gâteau, Bernie Ecclestone se moque de la venue des femmes dans le sport en disant qu'il lui faudra bientôt « payer des congés de maternité », indique qu'à son avis les bénéficiaires d'aide sociaux sont « des parasites » et que le premier ministre britannique Tony Blair « a probablement beaucoup menti. »

Les remarques d'Ecclestone ont déjà commencé à soulever les foudres un peu partout dans le monde, spécialement auprès des groupes juifs. Un politicien conservateur britannique John Whittingdale a pour sa part exprimé son regret « que des opinions aussi isolées soient encore exprimées par le public moderne. »

C'est à se demander combien de temps la presse en parlera...