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Mercedes Classe G 2002

7-1-2002

by Éric Descarries , L'Annuel de l'auto

MÉCANIQUE

Sous le capot, on découvre le même moteur V8 de 5 litres qui habite une berline de la Classe S et le roadster SL. Les tubulures d'admission sont à double passage augmentant ainsi le couple du V8 à bas régime. On obtient alors de bonnes accélérations et des reprises rassurantes. La version à moteur diesel ne sera vraisemblablement pas exportée en Amérique. Vu la conception relativement classique (pour ne pas dire ancienne) de ce tout-terrain, il ne faudra pas se surprendre d'y voir un châssis traditionnel qui fait appel à des essieux rigides avant et arrière. La suspension à ressorts hélicoïdaux est appuyée de barres transversales et d'amortisseurs à gaz. La direction est à billes, mais le freinage à quatre disques est au moins appuyé de l'antiblocage. Les jantes en alliage sont munies de pneus 265/60R18. Pour passer la puissance du V8, Mercedes a installé une transmission automatique à 5 rapports Touchshift. Elle est combinée à un boîtier de transfert électronique à 2 rapports. Mais le G500 demeure une traction intégrale, tout comme un de ses plus sérieux rivaux, le Range Rover. Le rapport inférieur peut être enclenché à la volée jusqu'à environ 25 km/h, car le boîtier est synchronisé. Il y a trois différentiels au véhicule, à l'avant, à l'arrière et au centre, et ils sont tous verrouillables mécaniquement. Ceux du centre et de l'arrière peuvent être verrouillés en tout temps lorsque le G500 est hors route. Ajoutez à cette fiche l'antipatinage aux quatre roues et, surtout, le système de contrôle de stabilité ESP que l'on retrouve sur toutes les Mercedes.
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