Comportement

Les plus belles qualités du Sequoia sont la douceur et le silence. Il a tout ou presque pour bien concurrencer les américains, y compris une puissance suffisante pour la traction et les excursions hors-route (ce que très peu de propriétaires feront !). Les accélérations sont satisfaisantes (environ 10,5 secondes pour atteindre les 100 km/h), et les reprises, rassurantes. Une chose est certaine, la finition et la fiabilité de Toyota sont incluses dans ce produit typiquement « américain ». La consommation de carburant est, par contre, aussi élevée que celle des utilitaires américains du genre. Il faut s'y attendre avec un tel gabarit.

Habitacle

Encore une fois, le Sequoia emprunte des éléments de la Tundra en commençant par le tableau de bord. Son instrumentation à cadrans ronds est bien placée devant le conducteur, alors que la plupart des commandes et des buses d'aération sont placées en plein centre dans une sorte de console ovalisées. Les commandes de la climatisation et du chauffage nous ont semblé un peu basses. La console centrale retient le levier de la boîte de transfert, quelques rangements et les porte-gobelets (deux pour l'avant, et deux pour l'arrière). Les fauteuils et les garnitures sont de la même couleur, que ce soit avec les tissus ou le cuir. On voit deux baquets à l'avant et une banquette 60/40 à l'arrière. La troisième banquette arrière est, on s'en doute, plus utile pour des enfants ou des adultes de petite taille. L'espace de chargement a, lui aussi, de petits compartiments de rangement. En passant, on peut enlever la troisième banquette pour plus de chargement. Replier la banquette centrale permet d'obtenir encore plus de place. Évidemment, le Sequoia se présente avec des coussins gonflables à l'avant et sur les côtés. Les huit places ont toutes des ceintures à trois points.