Chevrolet - Camaro 2002

Le fauteuil du conducteur ne se recule pas suffisamment, ce qui fera pester les grandes personnes.

La visibilité vers l'arrière est nulle sous tous les angles, tandis qu'à l'avant, le conducteur doit composer avec un capot interminable.

Pour mesurer à la fois votre habileté et votre patience, essayez le stationnement en parallèle.

Si la piètre visibilité et la longueur démesurée du véhicule ne vous font pas perdre votre calme, c'est le trop grand rayon de braquage qui vous achèvera.

CONCLUSION

La Camaro est restée fidèle à son ancêtre de la glorieuse époque des « pony cars ».

Tellement fidèle qu'elle en a conservé tous les défauts, ou presque. Elle tient mieux la route, c'est vrai, et freine avec plus d'autorité.

Sa direction a gagné en précision au fil des années.

Mais face aux sportives japonaises et européennes, elle accuse un retard de 20 ans.

Les nostalgiques des « gros cubes » devraient plutôt se tourner vers la Mustang, qui a su s'adapter à son époque tout en conservant sa touche rétro. L'une a bien vieilli, l'autre pas.