LE FREELANDER
Ce voyage était ma deuxième expérience au volant de la Freelander (vous pouvez lire les premiers rapports sous la rubrique Évènements Spéciaux en plus de l'essai routier du véhicule sur ce site), mais cette fois-ci, elle dura plus longtemps. En fait, j'y ai eu l'occasion de conduire dans toutes les situations imaginables. Le moteur V6 de 2,5 litres de la Freelander m'a semblé adéquat alors que nous avons réussi des temps de 10,3 secondes pour atteindre le cap des 100 km/h. Passer de 80 à 120 ne demanda que 8,3 secondes à la Land Rover. En ce qui concerne la vitesse maximale, nous avons facilement touché les 110 m/h (177 km/h) annoncés par le constructeur. Curieusement, un essai précédent dans un autre véhicule du groupe ne nous a permis de toucher que 95 m/h (153 km/h) !

Une des plus grandes qualités de la Freelander est sa tenue de route et j'ai remarqué que le véhicule n'était pas affecté par de forts vents latéraux. D'autre part, c'est toujours un excellent tout-terrain, ce que j'avais noté à la Baie James. Le bruit du moteur n'est pas si difficile à supporter et la visibilité est bonne sauf pour le balayage de l'essuie-glace d'arrière qui avait été créé d'abord pour une conduite à droite. Il n'est pas du bon côté pour nous. À l'intérieur, j'ai encore un peu de difficulté avec le design du tableau de bord. Je sais qu'il a été conçu pour recevoir la même instrumentation à droite comme à gauche, mais je ne l'aime pas. Et les fauteuils des sièges m'ont paru trop court pour bien soutenir les cuisses. De plus, je pense que des appuie-bras escamotables seraient bienvenus sur de longues randonnées. La banquette arrière est relevée ce qui permet une meilleure visibilité, mais l'espace pour les jambes est un peu juste. Il en va de même pour le compartiment à bagages.